McCain aime la guerre froide
McCain = Saakachvili = Medvedev = McCain
Oui, ça peut paraître un peu fou, voire incompréhensible, mais c'est la triste réalité.
De la campagne à la guerre, il n'y a qu'un pas. Ce pas là, McCain l'aurait fait.
D'après un politologue bien renseigné et interrogé, hier, sur France Inter (Le Téléphone sonne), l'équipe de campagne de McCain, alliée aux diplomates bossant pour le Président Bush, auraient envoyé des signaux positifs au Président de la Georgie, Saakachvili, l'assurant de leur soutien en cas de conflit ouvert.
Fort de ce soutien, Saakachvili s'est engagé sur le front ossète avec les conséquences que l'on connaît : Poutine-Medvedev ont envoyé l'armée russe, des morts par-ci et par-là, la reconnaissance de l'Indépendance des Ossètes,...
Et surtout, un climat de guerre froide. Climat encore plus glacial avec le soutien de la Chine, du Kazakhstan, du Kirghizstan, de l'Ouzbékistan et du Tadjikistan aujourd'hui-même.
McCain aurait misé sur ce scénario : en effet, en cas de conflit international ou de relent de guerre froide, les américains préferont-ils faire appel à un militaire chevronné, bardé de médailles, ou bien un candidat beaucoup moins expérimenté en matière diplomatique et militaire ?
En provoquant un conflit russo-américain non ouvert, McCain favorise sa candidature.
Mais à vouloir jouer avec les allumettes, on finit, parfois, à mettre le feu aux poudres.
Oui, ça peut paraître un peu fou, voire incompréhensible, mais c'est la triste réalité.
De la campagne à la guerre, il n'y a qu'un pas. Ce pas là, McCain l'aurait fait.
D'après un politologue bien renseigné et interrogé, hier, sur France Inter (Le Téléphone sonne), l'équipe de campagne de McCain, alliée aux diplomates bossant pour le Président Bush, auraient envoyé des signaux positifs au Président de la Georgie, Saakachvili, l'assurant de leur soutien en cas de conflit ouvert.
Fort de ce soutien, Saakachvili s'est engagé sur le front ossète avec les conséquences que l'on connaît : Poutine-Medvedev ont envoyé l'armée russe, des morts par-ci et par-là, la reconnaissance de l'Indépendance des Ossètes,...
Et surtout, un climat de guerre froide. Climat encore plus glacial avec le soutien de la Chine, du Kazakhstan, du Kirghizstan, de l'Ouzbékistan et du Tadjikistan aujourd'hui-même.
McCain aurait misé sur ce scénario : en effet, en cas de conflit international ou de relent de guerre froide, les américains préferont-ils faire appel à un militaire chevronné, bardé de médailles, ou bien un candidat beaucoup moins expérimenté en matière diplomatique et militaire ?
En provoquant un conflit russo-américain non ouvert, McCain favorise sa candidature.
Mais à vouloir jouer avec les allumettes, on finit, parfois, à mettre le feu aux poudres.